Le jour où j’ai perdu mes ailes

Les prestations réalisées

J’ai eu le plaisir de lire le manuscrit en bêta-lecture. Cela m’a permis de m’immerger tranquillement dans l’histoire tout en détectant des coquilles. 

Pour la correction, les Éditions Six-Trois ne sont pas intervenues, cela a permis des échanges directs avec Val de Lys. J’ai réalisé trois relectures, nonobstant la bêta-lecture, avant de lui rendre ma correction. Elle m’a ensuite fait part de son retour avec quelques questions, puis j’ai procédé à une ultime vérification rapide avant de transmettre aux Éditions Six-Trois et à l’auteure le document de référence pour la mise en page.

L’objectif, pour la partie graphisme, était de garder la même ligne éditoriale que pour le premier roman de Val de Lys : Comme l’écorce d’un arbre.
Des aquarelles, réalisées par l’auteure, ont illustré la couverture et trois pages intérieures. Val de Lys m’ayant fait part, lors d’une dédicace, de son affinité pour un rouge corail clair, dans les tons de son aquarelle, j’ai réalisé ma première proposition en fonction, dans différentes nuances.

Pour la couleur du titre et du sous-titre de la première de couverture, j’avais proposé un rouge proche du marron, dont le pigment faisait partie de l’aquarelle. J’ai également détouré les aquarelles de la première et de la quatrième de couverture pour que le papier des œuvres ne soit pas visible.

Après avoir vu comment la couverture rendait avec du rouge corail clair, Val de Lys a préféré que je sélectionne à la place un bleu présent dans le ciel de l’aquarelle de la première de couverture pour voir ce que cela donnait.
En amont, elle voulait que j’éclaircisse l’aquarelle de la première de couverture.

Après cette retouche, j’ai proposé différentes maquettes montrant les nuances de bleu. J’ai également mis le titre et le sous-titre dans un bleu gris pour faire le lien avec la quatrième de couverture et garder le même esprit que la ligne éditoriale de Comme l’écorce d’un arbre.

Le bleu sur la quatrième de couverture a été apprécié. En revanche, nous trouvions que la couleur du titre et du sous-titre était terne. Je suis donc revenue sur le rouge marron apprécié par tout le monde.

C’est cette version-là qui a été choisie après réduction de la taille de l’avion sur la première de couverture.

Pour la mise en page, il n’y avait pas de demande particulière, si ce n’est d’incorporer les aquarelles sur les pages dédiées et de façon harmonieuse.